Groupe TVA, Quatrième trimestre se terminant le 31 décembre 2012
GROUPE TVA ENREGISTRE UN BÉNÉFICE NET ATTRIBUABLE AUX ACTIONNAIRES DE 9,4 MILLIONS DE DOLLARS POUR LE QUATRIÈME TRIMESTRE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2012.
Montréal, Canada – Groupe TVA inc. (la « Société ») annonce qu’elle a enregistré un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 9,4 millions de dollars, soit 0,40 $ par action, au cours du quatrième trimestre de l’exercice 2012 alors qu’au trimestre correspondant de l’année 2011 son bénéfice net attribuable aux actionnaires avait été de 11,5 millions de dollars ou 0,48 $ par action.
Faits saillants liés à l’exploitation du quatrième trimestre :
- Bénéfice d’exploitation du secteur de la télévision de 19 103 000 $, soit une variation favorable de 1 006 000 $ (5,6 %) expliquée principalement par les éléments suivants :
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L’impact positif sur le bénéfice d’exploitation relié au fait que les résultats de SUN News ne sont plus consolidés depuis le 1er juillet 2012;
- La hausse du bénéfice d’exploitation de 2 402 000 $ des services spécialisés;
Partiellement compensés par :
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Le recul du bénéfice d’exploitation du Réseau TVA attribuable principalement à une baisse de 5,6 % de ses revenus publicitaires.
Bénéfice d’exploitation du secteur de l’édition de 1 863 000 $ soit une variation défavorable de 697 000 $ (‑27,2 %) principalement attribuable à la baisse de 4,9 % de l’ensemble de ses produits d’exploitation.
« Les résultats financiers du quatrième trimestre de 2012 pour le secteur de la télévision ont été affectés par la baisse des revenus publicitaires du Réseau TVA lesquels sont demeurés stables pour l’ensemble de l’exercice financier de 2012. Pour la période du 1er octobre au 31 décembre 2012, les parts de marché combinées des chaînes de Groupe TVA ont connu une croissance de 6,3 % pour atteindre 33,5 parts de marché. De plus, les revenus totaux de nos services spécialisés francophones ont progressé de 21,3 % pour le quatrième trimestre de 2012 et de 33,6 % pour l’exercice de 2012 » a commenté Monsieur Pierre Dion, président et chef de la direction de la Société.
« La marge bénéficiaire du secteur de l’édition a été de 10,7 % malgré le recul des recettes publicitaires et des revenus en kiosque durant le dernier trimestre de 2012. Les efforts se poursuivent pour déployer de nouveaux projets et stratégies de marques afin de générer de nouvelles sources de revenus pour l’exercice 2013 au sein de ce secteur d’activités », a conclu Monsieur Pierre Dion.
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation générés au cours du trimestre ont été de 12,6 millions de dollars comparativement à 2,8 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2011. Cette hausse de 9,8 millions de dollars s’explique essentiellement par la variation favorable des éléments hors liquidités notamment les débiteurs.
Résultats pour l’exercice 2012
Pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2012, le bénéfice d’exploitation consolidé de la Société s’est élevé à 45,6 millions de dollars comparativement à 50,5 millions de dollars pour l’exercice précédent, soit un recul de 9,8 %. Ce recul du bénéfice d’exploitation provient exclusivement du secteur de l’édition et est principalement attribuable aux charges d’exploitation supplémentaires provenant de l’adoption des tarifs 2010, 2011 et 2012 concernant la contribution des entreprises au partage des coûts liés à la récupération des matières résiduelles (loi 88) conjuguées au recul des produits d’exploitation de ce secteur d’activités. Les produits d’exploitation consolidés se sont élevés à 457,4 millions de dollars comparativement à 445,5 millions de dollars pour l’exercice correspondant de 2011, soit une augmentation de 2,7 %. Pour cette même période, la perte nette attribuable aux actionnaires de la Société s’est établie à 4,1 millions de dollars soit 0,17 $ par action comparativement à un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 25,6 millions de dollars ou 1,08 $ par action pour l’exercice 2011.
Définition
Bénéfice ou perte d’exploitation
Dans son analyse des résultats d’exploitation, la Société définit le bénéfice (la perte) d’exploitation comme le bénéfice net (la perte nette) avant l’amortissement des immobilisations et des actifs incorporels, les charges financières, la dépréciation de l’écart d’acquisition, le gain sur disposition d’entreprises, les frais de rationalisation des activités d’exploitation, dépréciation d’actifs et autres, les impôts sur le bénéfice, la part de la perte (du bénéfice) dans les entreprises associées après impôts et la perte nette attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle. Le bénéfice (la perte) d’exploitation, tel(le) que défini(e) ci-dessus, n’est pas une mesure des résultats définie conformément aux IFRS. Ce n’est pas non plus une mesure destinée à remplacer d’autres outils d’évaluation du rendement financier ou l’état des flux de trésorerie comme indicateur de liquidité. Cette mesure ne représente pas les fonds disponibles pour le service de la dette, le paiement de dividendes, le réinvestissement ou d’autres utilisations discrétionnaires, et ne devrait pas être considérée isolément ou comme substitut aux autres mesures de rendement calculées selon les IFRS. La direction estime que le bénéfice (la perte) d’exploitation est un instrument utile d’évaluation du rendement.
La direction et le conseil d’administration de la Société utilisent cette mesure pour évaluer tant les résultats consolidés de la Société que les résultats des secteurs d’exploitation qui en font partie. De plus, des mesures comme le bénéfice (la perte) d’exploitation sont fréquemment utilisées par la communauté financière pour analyser et comparer le rendement d’entreprises dans les secteurs où la Société est active. Signalons que la définition du bénéfice (de la perte) d’exploitation adoptée par la Société peut différer de celle d’autres entreprises.
Mise en garde concernant l’information prospective
Les énoncés figurant dans le présent communiqué de presse qui ne sont pas des faits historiques peuvent constituer des énoncés prospectifs assujettis à des risques, à des incertitudes et à des hypothèses importantes connus et inconnus qui sont susceptibles d’entraîner un écart important entre les résultats réels de la Société dans des périodes futures et ceux qui figurent dans les énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont généralement reconnaissables à l’utilisation du conditionnel, expressions prospectives comme « proposer », « s’attendre à », « pouvoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer que », « prévoir », « désirer » ou « croire » ou la tournure négative de ces expressions ou de leurs variantes ou toute terminologie similaire. Au nombre des facteurs pouvant entraîner un écart entre les résultats réels et les attentes actuelles figurent la saisonnalité, les risques d’exploitation (y compris les mesures relatives à l’établissement des prix prises par des concurrents), le risque lié aux coûts de contenu de la programmation et de production, le risque de crédit, les risques associés à la réglementation gouvernementale, les risques associés à l’aide gouvernementale, aux effets de la conjoncture économique et de la fragmentation du paysage médiatique ainsi que les risques liés aux relations de travail. Les investisseurs et autres personnes devraient noter que la liste des facteurs mentionnés ci-dessus, qui sont susceptibles d’influer sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive et éviter de se fier indûment à tout énoncé prospectif. Pour de plus amples renseignements sur les risques, incertitudes et hypothèses susceptibles d’entraîner un écart entre les résultats réels de la Société et les attentes actuelles, veuillez vous reporter aux documents publics déposés par la Société qui sont accessibles à www.sedar.com et http://groupetva.ca y compris, en particulier, à la section « Risques et incertitudes » du rapport de gestion annuel de la Société pour l’exercice terminé le 31 décembre 2012.
Les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse reflètent les attentes de la Société au 28 février 2013 et sont sous réserve de changements pouvant survenir après cette date. La Société décline expressément toute obligation ou tout engagement de mettre à jour ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouveaux renseignements ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, à moins que les lois sur les valeurs mobilières applicables le requièrent.
Groupe TVA
Groupe TVA inc., filiale de Québecor Média inc., est une entreprise de communication intégrée active dans la création, la production, la diffusion et la distribution de produits audiovisuels ainsi que dans l’édition de magazines. Groupe TVA inc. est la plus importante entreprise de diffusion d’émissions de divertissement, d’information et d’affaires publiques et d’édition de magazines de langue française en Amérique du Nord et une des plus grandes entreprises privées de production. Ses actions classe B sont cotées à la Bourse de Toronto sous le symbole TVA.B.
Les états financiers consolidés audités, accompagnés des notes afférentes, ainsi que le rapport de gestion annuel, peuvent être consultés sur le site internet de la Société à l’adresse suivante : http://groupetva.ca.
Source :
Denis Rozon, CPA, CA
Vice-président et chef de la direction financière
(514) 598-2808