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GROUPE TVA ENREGISTRE UNE CROISSANCE DE SON BÉNÉFICE D’EXPLOITATION AJUSTÉ POUR UN SECOND TRIMESTRE CONSÉCUTIF.

GROUPE TVA ENREGISTRE UNE CROISSANCE DE SON BÉNÉFICE D’EXPLOITATION AJUSTÉ1  POUR UN SECOND TRIMESTRE CONSÉCUTIF. 

Groupe TVA inc. (« Groupe TVA » ou la « Société ») annonce qu’elle a enregistré un bénéfice d’exploitation ajusté1 de 16,8 millions de dollars au cours du quatrième trimestre de l’exercice 2015 comparativement à 6,8 millions de dollars pour le trimestre correspondant de l’exercice 2014.

La Société a cependant enregistré une perte nette attribuable aux actionnaires de 1,5 million de dollars, soit une perte de 0,03 $ par action au cours de ce même trimestre comparativement à une perte nette attribuable aux actionnaires de 4,4 millions de dollars ou une perte de 0,19 $ par action pour le trimestre correspondant de l’exercice 2014.  

 

Faits saillants liés à l’exploitation du quatrième trimestre :

 

Ø  Bénéfice d’exploitation ajusté[1] consolidé de 16 846 000 $, soit une variation favorable de 10 032 000 $ (147 %) comparativement au trimestre correspondant de 2014.

Ø  Bénéfice d’exploitation ajusté1 du secteur télédiffusion et production de 14 013 000 $, soit une variation favorable de 8 940 000 $ (176 %) expliquée principalement par les éléments suivants :

Þ     l’amélioration des résultats d’exploitation ajustés1 de « TVA Sports », expliquée essentiellement par l’augmentation de 19 % de ses revenus publicitaires et de 13 % de ses revenus d’abonnement;

Þ     la hausse de 80 % du bénéfice d’exploitation ajusté1 des autres services spécialisés, principalement attribuable à la hausse des revenus d’abonnement;

Þ     la hausse du bénéfice d’exploitation ajusté1 du Réseau TVA, découlant principalement du plan de rationalisation de ses charges d’exploitation.

 

Ø  Bénéfice d’exploitation ajusté1 du secteur magazines de 1 853 000 $, soit une variation favorable de 112 000 $ (6 %) expliquée principalement par l’ajout des résultats d’exploitation ajustés des magazines acquis de Transcontinental et compensé en partie par l’impact de la baisse des produits d’exploitation de ce secteur, en excluant les magazines acquis.

Ø  Bénéfice d’exploitation ajusté1 du secteur services cinématographiques et audiovisuels (« MELS ») de 980 000 $.

 

« Nous sommes heureux d’avoir enregistré, pour un deuxième trimestre consécutif, une croissance de notre bénéfice d’exploitation ajusté1 qui s’explique par notre stratégie de diversification de nos sources de revenus et de nos efforts de commercialisation de nos marques et contenus. Le secteur télédiffusion et production a connu une amélioration importante de sa performance financière notamment en ce qui a trait à ses services spécialisés d’information et de divertissement avec une croissance de 80 % de leur bénéfice d’exploitation ajusté1 combiné et à sa chaîne « TVA Sports » qui a connu une amélioration de 49 % de ses résultats d’exploitation ajustés. Les parts d’écoute du Réseau TVA se sont maintenues à 22,5 parts alors que nos deux principaux concurrents ont connu des baisses. Nos services spécialisés ont connu une croissance totale de 0,3 part pour atteindre 10 parts combinées », a commenté Madame Julie Tremblay, présidente et chef de la direction de la Société.

« Le secteur magazines a connu une légère croissance de sa profitabilité au niveau du bénéfice d’exploitation ajusté1 malgré une pression importante sur les revenus publicitaires. Afin de maintenir notre position dans le marché et de prioriser nos ressources sur nos marques fortes, nous avons annoncé le 18 novembre dernier la cessation de la publication de six titres francophones. Cette initiative permettra aux marques phares de la Société d’accroître leur rayonnement de façon efficace et malgré les fermetures, nous demeurons fortement présents dans tous les créneaux », a poursuivi Madame Julie Tremblay.

« Nous sommes également très fiers de la réponse des producteurs de films et de séries télévisuelles d’ici et de l’étranger qui n’hésitent pas à recourir à nos installations et équipements de tournages en plus de nos services de postproduction et d’effets visuels au sein de MELS. D’ailleurs, c’est dans l’esprit de leur offrir un service hors pair que nous avons annoncé la nomination de M. Michel Trudel au poste de président de MELS. Sa nomination permettra à l’entreprise d’entrer dans une nouvelle phase de son rayonnement, tant ici que sur la scène internationale », a conclu la présidente. 

 

Résultats pour l’exercice 2015

 

Pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2015, le bénéfice d’exploitation ajusté1 consolidé de la Société s’est élevé à 47 390 000 $ comparativement à 29 426 000 $ pour l’exercice précédent, soit une croissance de 61 %. Le secteur télédiffusion et production a connu une croissance de 30 % tandis que le secteur magazines a connu une baisse de son bénéfice d’exploitation ajusté1 de 20 %. L’addition des activités du secteur services cinématographiques et audiovisuels provenant de l’acquisition le 30 décembre 2014 des actifs maintenant opérés par MELS a largement contribué à cette croissance en dégageant un bénéfice d’exploitation ajusté1 de 14 062 000 $ pour l’exercice 2015. L’amélioration du bénéfice d’exploitation ajusté1 du secteur télédiffusion et production est attribuable à la hausse du bénéfice d’exploitation ajusté1 du Réseau TVA, découlant principalement de la baisse des coûts de contenu et du plan de rationalisation des charges d’exploitation mis en place au cours du second trimestre de l’exercice, ainsi que de la hausse de 48 % du bénéfice d’exploitation ajusté1 combiné des services spécialisés (autres que « TVA Sports ») résultant de la croissance de nos revenus d’abonnement pour ces services.

Les produits d’exploitation consolidés se sont élevés à 589 890 000 $ pour l’exercice 2015 comparativement à 439 340 000 $ pour l’exercice précédent, soit une hausse de 34 %. Pour cette même période, la perte nette attribuable aux actionnaires de la Société a été de 55 226 000 $, soit une perte de 1,42 $ par action comparativement à une perte nette attribuable aux actionnaires de 41 088 000 $ ou une perte de 1,73 $ par action pour l’exercice 2014.

De plus, au cours du troisième trimestre 2015, la Société a complété la mise à jour annuelle de son plan stratégique pour les trois prochaines années notamment pour son secteur télédiffusion et production. La Société a alors reconnu une charge de dépréciation non monétaire de 60 107 000 $ au niveau de la licence de télédiffusion, dont 30 054 000 $ sans incidence fiscale (32 462 000 $ en 2014 dont 16 231 000 $ sans incidence fiscale). Par ailleurs, une charge de dépréciation non monétaire de l’écart d’acquisition de 8 538 000 $, sans incidence fiscale, avait également été comptabilisée en 2014.

 

Définition

Bénéfice ou perte d’exploitation ajusté(e) (« Résultats d’exploitation ajustés »)

Dans son analyse des résultats d’exploitation, la Société définit le bénéfice (la perte) d’exploitation ajusté(e) comme le bénéfice net (la perte nette) avant l’amortissement des immobilisations et des actifs incorporels, les charges financières, les frais de rationalisation des activités d’exploitation, dépréciation d’actifs et autres, les impôts sur le bénéfice et la part de la perte (du bénéfice) dans les entreprises associées. Le bénéfice (la perte) d’exploitation ajusté(e), tel(le) que défini(e) ci-dessus, n’est pas une mesure des résultats définie conformément aux Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Ce n’est pas non plus une mesure destinée à remplacer d’autres outils d’évaluation du rendement financier ou l’état des flux de trésorerie comme indicateur de liquidité. Cette mesure ne devrait pas être considérée isolément ou comme substitut aux autres mesures de rendement calculées selon les IFRS. La direction et le conseil d’administration de la Société utilisent cette mesure pour évaluer tant les résultats consolidés de la Société que les résultats des secteurs d’activités qui en font partie. Cette mesure élimine le niveau substantiel de dépréciation et d’amortissement des actifs corporels et incorporels et n’est pas affectée par la structure du capital ou par les activités d’investissement de la Société et de ses différents secteurs d’activités. En outre, le bénéfice (la perte) d’exploitation ajusté(e) est utile, car il (elle) constitue un élément important des régimes de rémunération incitative annuels de la Société. Signalons que la définition du bénéfice (de la perte) d’exploitation ajusté(e) adoptée par la Société peut différer de celle d’autres entreprises.

 

Mise en garde concernant l’information prospective

Les énoncés figurant dans le présent communiqué de presse qui ne sont pas des faits historiques peuvent constituer des énoncés prospectifs assujettis à des risques, à des incertitudes et à des hypothèses importantes connus et inconnus qui sont susceptibles d’entraîner un écart important entre les résultats réels de la Société dans des périodes futures et ceux qui figurent dans les énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont généralement reconnaissables à l’utilisation du conditionnel, à des expressions prospectives comme « proposer », « s’attendre à », « pouvoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer que », « prévoir », « désirer » ou « croire » ou la tournure négative de ces expressions ou de leurs variantes ou toute terminologie similaire. Au nombre des facteurs pouvant entraîner un écart entre les résultats réels et les attentes actuelles figurent la saisonnalité, les risques d’exploitation (y compris les mesures relatives à l’établissement des prix prises par des concurrents), le risque lié aux coûts de contenu de la programmation et de production, le risque de crédit, les risques associés à la réglementation gouvernementale, les risques associés à l’aide gouvernementale, aux effets de la conjoncture économique et de la fragmentation du paysage médiatique ainsi que les risques liés aux relations de travail. Les investisseurs et autres personnes devraient noter que la liste des facteurs mentionnés ci-dessus, qui sont susceptibles d’influer sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive et éviter de se fier indûment à tout énoncé prospectif. Pour de plus amples renseignements sur les risques, incertitudes et hypothèses susceptibles d’entraîner un écart entre les résultats réels de la Société et les attentes actuelles, veuillez-vous reporter aux documents publics déposés par la Société qui sont accessibles à www.sedar.com et http://groupetva.ca y compris, en particulier, à la section « Risques et incertitudes » du rapport de gestion annuel de la Société pour l’exercice terminé le 31 décembre 2015.

Les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse reflètent les attentes de la Société au 26 février 2016 et sont sous réserve de changements pouvant survenir après cette date. La Société décline expressément toute obligation ou tout engagement de mettre à jour ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouveaux renseignements ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, à moins que les lois sur les valeurs mobilières applicables le requièrent.



[1] Voir la définition du bénéfice (perte) d’exploitation ajusté(e) ci-après.

1 Voir la définition du bénéfice (perte) d’exploitation ajusté(e) ci-après.