Groupe TVA annonce ses résultats pour le quatrième trimestre 2020
Montréal, Canada – Groupe TVA inc. (« Groupe TVA » ou la « Société ») annonce qu’elle a enregistré des produits d’exploitation de 147,6 millions, en baisse de 16,6 millions sur le quatrième trimestre 2019. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires se chiffre à 27,4 millions de dollars soit un bénéfice de 0,63 $ par action comparativement à un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 16,0 millions ou un bénéfice de 0,37 $ par action pour le trimestre correspondant de l’exercice 2019.
Faits saillants liés à l’exploitation du quatrième trimestre :
- BAIIA ajusté[1] consolidé de 46 070 000 $, soit une variation favorable de 12 502 000 $ comparativement au trimestre correspondant de 2019;
- BAIIA ajusté1 du secteur télédiffusion de 36 739 000 $, soit une variation favorable de 15 014 000 $ principalement attribuable à la hausse de 78,4 % du BAIIA ajusté1 des chaînes spécialisées, notamment de « TVA Sports » dont la diminution importante des coûts reflète le report du début de la saison 2020-2021 de la Ligue Nationale de Hockey (« LNH »), ainsi qu’à l’augmentation de 62,0 % du BAIIA ajusté1 du Réseau TVA;
- BAIIA ajusté1 du secteur des services cinématographiques et audiovisuels (« MELS ») de 7 453 000 $, soit un écart défavorable de 375 000 $ attribuable à la diminution de la rentabilité des activités de location de studios, de mobiles et d’équipements ainsi que des activités d’effets visuels, alors que les activités de postproduction ont connu une augmentation de leur BAIIA ajusté1;
- BAIIA ajusté1 du secteur magazines de 2 122 000 $, soit une variation favorable de 519 000 $ grandement attribuable à l’aide gouvernementale supplémentaire reçue dans le contexte de la crise sanitaire qui a permis de compenser la baisse de performance de l’ensemble des titres;
- BAIIA ajusté1 négatif du secteur production et distribution (« Incendo ») de 369 000 $, soit un écart défavorable de 2 567 000 $, une conséquence directe de la crise sanitaire qui a engendré un retard au niveau de la distribution des films produits au cours de l’année.
- L’ensemble de nos secteurs ont pu bénéficier, encore ce trimestre-ci, de la Subvention salariale d’urgence du Canada (« SSUC ») à la hauteur de 3 300 000 $ afin de soutenir le niveau d’emploi dans un contexte où nos revenus consolidés, en baisse de près de 11 %, sont encore affectés par la crise sanitaire qui perdure.
« Bien que la croissance du BAIIA ajusté1 de ce trimestre ait été alimentée en grande partie par la situation ponctuelle de « TVA Sports », ainsi que par les différentes mesures d’aide provenant des programmes gouvernementaux, elle résulte également d’efforts à plusieurs niveaux afin d’atténuer les impacts majeurs qu’engendre cette crise sur la Société. Cela dit, la pandémie de la COVID-19 a continué d’avoir des impacts sur nos activités, entre autres, une réduction des revenus publicitaires, une baisse importante d’événements sportifs, un retard au niveau de nos activités de distribution et la nécessité d’adapter nos environnements et méthodes de travail en continu afin de protéger la santé et la sécurité de nos employés et du public. Bien que toutes nos activités étaient reprises au cours du quatrième trimestre, le volume de celles‑ci a continué de subir une baisse importante dans chacun de nos secteurs. Notre capacité de récupérer ce volume d’affaires au cours des prochains trimestres et la vitesse à laquelle nous pourrons le faire demeurent tributaires de facteurs tels que l’évolution de la crise sanitaire, les mesures gouvernementales qui seront mises en place afin de freiner la propagation de la COVID-19 et la situation précaire dans laquelle se retrouveront certains de nos clients et annonceurs », a affirmé la présidente et chef de la direction de Groupe TVA, France Lauzière.
« Malgré ce contexte difficile, Groupe TVA continue de s’adapter à la transformation du marché et d’évoluer. À cet égard, je suis particulièrement fière du repositionnement stratégique de la marque TVA effectué au cours de l’automne ainsi que de notre nouvelle destination numérique TVA +, une nouvelle plateforme qui vise à rejoindre et rassembler encore davantage de Québécois autour du contenu qui leur sera offert. D’ailleurs, nos téléspectateurs continuent d’être fidèles comme le démontrent nos parts de marché consolidées qui ont atteint 38,6 parts[2] pour le quatrième trimestre de 2020, un gain de 1,8 part1 sur le trimestre correspondant de 2019. Cette croissance est nettement attribuable au gain de 2,6 parts1 de la chaîne « LCN » qui conserve ainsi sa position de chaîne spécialisée la plus écoutée au Québec avec ses 7,4 parts1.
« Dans le secteur des services cinématographiques et audiovisuels, la pandémie continue d’avoir un impact sur le volume d’affaires de la plupart des services offerts par le secteur. Cependant, la reprise complète des activités de location de studios, de mobiles et d’équipements au quatrième trimestre 2020, dans un contexte où les employés et les clients ont su s’adapter aux nouvelles mesures sanitaires et méthodes de travail, a permis de retrouver un niveau d’activités plus près de la tendance habituelle pour ce service. La reprise des activités a d’ailleurs permis à l’équipe de Disney de compléter le tournage du film Home Alone au cours du trimestre et a laissé place à une autre production d’envergure présente dans nos installations depuis le début de l’exercice 2021. Également, notre nouvelle offre de production virtuelle, annoncée le trimestre dernier, suscite déjà beaucoup d’intérêt dans le marché et nous avons pu débuter certains tournages en exploitant cette technologie », a poursuivi la présidente de Groupe TVA.
« Dans le secteur magazines, la poursuite des efforts de synergies opérationnelles jumelée à l’aide gouvernementale supplémentaire reçue dans le contexte de la pandémie en cours ont permis à ce secteur de continuer de dégager un BAIIA ajusté[3] positif en hausse ainsi qu’une marge bénéficiaire de 16 %, malgré une baisse des revenus. Encore une fois, nous sommes ravis de constater que TVA est toujours l’éditeur de magazines francophones numéro 1 au Québec[4] en plus de contribuer positivement aux résultats de la Société.
Malgré l’accélération de la reprise de ses activités et la production de sept films au cours des deux derniers trimestres de l’année, Incendo n’a pas été en mesure de compléter la vente de ceux-ci dans l’année en cours, conséquence directe du ralentissement des activités engendré par la crise sanitaire. Rappelons qu’Incendo s’est démarquée en accélérant sa capacité de production grâce notamment à la réalisation de deux coproductions avec la Nouvelle-Zélande. Cette stratégie nous permet d’être bien positionnés pour la prochaine année afin d’être en mesure de distribuer nos films et bénéficier de la forte demande pour les contenus originaux tout en continuant de diversifier nos sources de revenus et d’élargir notre présence à l’international.
En terminant, je souhaite souligner à nouveau le travail de tous nos employés partout au Québec. C’est grâce à leur mobilisation, leur capacité à s’adapter et à se dépasser que nous avons pu poursuivre notre mission d’informer et divertir les Québécois. Je tiens à les remercier pour leur travail acharné en cette période particulière », a conclu la présidente.
Résultats pour l’exercice 2020
Pour l’exercice terminé le 31 décembre 2020, le BAIIA ajusté[5] consolidé de la Société s’est élevé à 85 306 000 $ comparativement à 72 440 000 $ pour l’exercice précédent, soit une croissance de 17,8 %. Les secteurs télédiffusion et magazines ont connu des croissances respectives de leur BAIIA ajusté1 de 37,0 % et 0,4 %, alors que le secteur des services cinématographiques et audiovisuels ainsi que celui de la production et distribution ont connu des reculs de 13,4 % et 59,4 % respectivement, deux secteurs ayant vu leurs activités complètement arrêtées au cours du deuxième trimestre. Groupe TVA a pu bénéficier du programme de SSUC depuis le début de la crise sanitaire, un soutien de 28 958 000 $ reflété en réduction des charges d’exploitation de nos différents secteurs d’activités.
L’écart favorable de 16 480 000 $ du BAIIA ajusté1 du secteur télédiffusion est principalement attribuable à la chaîne « TVA Sports » qui a réalisé d’importantes économies de coûts ponctuelles engendrées par la baisse d’événements sportifs diffusés par la chaîne. Le Réseau TVA, quant à lui, a réussi à augmenter son BAIIA ajusté1 de 15,0 % malgré une baisse de 13,7 % de ses revenus publicitaires grâce à des économies au niveau de la main-d’œuvre découlant d’un plan de mises à pied temporaires et de la comptabilisation de la subvention salariale d’urgence, ainsi qu’aux économies de coûts de contenu. Ces bonnes performances ont été contrebalancées en partie par la baisse de 11,5 % du BAIIA ajusté1 des autres chaînes spécialisées.
Le recul de 13,4 % du BAIIA ajusté1 de MELS est principalement attribuable à la diminution de 26,4 % du BAIIA ajusté1 généré par la location de studios, de mobiles et d’équipements, contrebalancée en partie par l’augmentation de 107,5 % du BAIIA ajusté1 généré par les activités de doublage et de vidéodescription compte tenu de la demande croissante pour ces services et des requis règlementaires à ces égards.
Le secteur magazines a su maintenir son BAIIA ajusté1 en dégageant un léger écart favorable de 36 000 $ malgré une baisse de revenus de 18,2 %. La poursuite des plans de rationalisation mis en place au cours des dernières années et l’aide gouvernementale supplémentaire offerte durant la crise sanitaire ont permis au secteur de compenser en totalité la décroissance de son volume d’activités.
Le secteur production et distribution a subi un important recul de 59,4 % de son BAIIA ajusté1, une conséquence directe de l’arrêt de ses activités de production au printemps dernier, engendrant un retard au niveau de la livraison des films produits en cours d’année.
Les produits d’exploitation consolidés se sont élevés à 508 144 000 $ pour l’exercice 2020 comparativement à 569 910 000 $ pour l’exercice précédent, soit une baisse de 10,8 %. Pour cette même période, le bénéfice net attribuable aux actionnaires de la Société a été de 32 317 000 $, soit un bénéfice de 0,75 $ par action, comparativement à un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 16 452 000 $, ou un bénéfice de 0,38 $ par action pour l’exercice 2019.
Mise à jour sur le contexte actuel de la pandémie de la COVID-19
Les résultats annuels, incluant ceux du quatrième trimestre, doivent être mis en perspective dans le contexte de la pandémie de la COVID-19, une situation sans précédent qui a des répercussions considérables sur la population canadienne, de même que sur l’économie mondiale. En tant que fournisseur de services essentiels, notre priorité demeure de poursuivre notre mission, soit d’informer et divertir le public. À cet égard, nous nous sommes assurés de maintenir nos services de nouvelles en continu accessibles à tous via nos diverses plateformes de diffusion et en offrant gratuitement notre chaîne spécialisée d’information « LCN » à certains moments forts de cette crise. Groupe TVA a pris et continue de prendre toutes les mesures nécessaires afin de protéger la santé et la sécurité de ses employés, soit via la prestation de leurs services à distance lorsque possible, par la mise en place de mesures de distanciation sociale en milieux de travail et par l’ajout de mesures sanitaires rigoureuses dans nos installations.
Dans le contexte de cette crise, nous nous attendons à ce que des impacts financiers se fassent encore ressentir au cours des prochains trimestres. Parmi ceux-ci, notons les suivants :
- Une variabilité importante de nos revenus et de nos coûts de contenu associés à la diffusion en direct de manifestations sportives organisées par des ligues professionnelles, considérant que la reprise des activités de celles-ci implique l’annulation de certains événements ou des changements importants quant à leur format ou calendrier de diffusion;
- Une réduction significative des revenus publicitaires qui aura inévitablement des impacts sur les secteurs télédiffusion et magazines;
- Une variation du niveau d’activités du secteur MELS et de celui de la production et distribution découlant d’un arrêt ou d’une reprise de nos activités de production de contenu complexifiée et ralentie par certains facteurs. Parmi ceux-ci, notons le respect des mesures sanitaires et de distanciation sociale sur les plateaux de tournage, la fermeture des frontières avec certains pays et les défis au niveau de l’assurabilité des productions;
- Une réduction possible de la fréquence de mise en marché de certaines publications qui affecterait les revenus du secteur magazines.
En raison du ralentissement de l’économie, environ 25 % des employés de Groupe TVA ont reçu des prestations au cours de l’année en vertu du programme de soutien de la Société pour compenser leur mise en disponibilité. Durant la crise sanitaire, ce programme offre une aide financière en supplément des programmes de Subvention salariale d’urgence du Canada ou de Prestation canadienne d’urgence. Plusieurs entités des différents secteurs de la Société se sont qualifiées à la Subvention salariale d’urgence, ce qui a permis à la Société d’atténuer certains impacts reliés à la crise actuelle.
Étant donné l’incertitude entourant la durée de la pandémie et les répercussions qu’elle pourrait avoir, il nous est impossible à l’heure actuelle d’en prédire l’effet global sur nos résultats opérationnels et financiers, mais nous sommes d’avis que notre bonne santé financière actuelle, notre solide bilan et les mesures mises de l’avant nous permettront de continuer de dégager des flux de trésorerie positifs.
L’équipe de direction de Groupe TVA de même que son conseil d’administration surveillent de façon continue l’impact de la crise sanitaire sur les secteurs d’activités de la Société, ses employés, ses clients, ses partenaires d’affaires, ainsi que sur la population du Québec afin de prendre les mesures appropriées pour assurer la bonne continuité des affaires de l’entreprise et maintenir ses stratégies à long terme.
Définition
BAIIA ajusté
Dans son analyse des résultats d’exploitation, la Société définit le BAIIA ajusté comme le bénéfice net (la perte nette) avant l’amortissement, les charges financières, les frais de rationalisation des activités d’exploitation et autres, les impôts sur le bénéfice et la part du bénéfice dans les entreprises associées. Le BAIIA ajusté, tel que défini ci-dessus, n’est pas une mesure des résultats définie conformément aux Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Ce n’est pas non plus une mesure destinée à remplacer d’autres outils d’évaluation du rendement financier ou l’état des flux de trésorerie comme indicateur de liquidités. Cette mesure ne devrait pas être considérée isolément ou comme substitut aux autres mesures de rendement calculées selon les IFRS. La direction et le conseil d’administration de la Société utilisent cette mesure pour évaluer tant les résultats consolidés de la Société que les résultats des secteurs d’activités qui en font partie. Cette mesure élimine le niveau substantiel de dépréciation et d’amortissement des actifs corporels et incorporels et n’est pas affectée par la structure du capital ou par les activités d’investissement de la Société et de ses différents secteurs d’activités. En outre, le BAIIA ajusté est utile, car il constitue un élément important des régimes de rémunération incitative annuels de la Société. Signalons que la définition du BAIIA ajusté adoptée par la Société peut différer de celle utilisée par d’autres entreprises.
Téléconférence des investisseurs
Le 19 février 2021, à 9h00 (HNE), aura lieu une téléconférence sur les résultats de Groupe TVA pour le quatrième trimestre 2020, avec une période de questions réservée aux analystes financiers. On peut y accéder en composant le 1-877-293-8052, suivi du code d’accès pour les participants 14876#. Une version enregistrée, en anglais seulement, sera disponible par la suite en composant le 1-877-293-8133, suivi du code d’accès de la conférence 14876# puis du code d’accès de l’enregistrement 14876#, entre le 19 février et le 19 mars 2021.
Mise en garde concernant l’information prospective
Les énoncés figurant dans le présent communiqué de presse qui ne sont pas des faits historiques peuvent constituer des énoncés prospectifs assujettis à des risques, à des incertitudes et à des hypothèses importantes connus et inconnus qui sont susceptibles d’entraîner un écart important entre les résultats réels de la Société dans des périodes futures et ceux qui figurent dans les énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont généralement reconnaissables à l’utilisation du conditionnel, à des expressions prospectives comme « proposer », « s’attendre à », « pouvoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer que », « prévoir », « désirer » ou « croire » ou la tournure négative de ces expressions ou de leurs variantes ou toute terminologie similaire. Au nombre des facteurs pouvant entraîner un écart entre les résultats réels et les attentes actuelles figurent la saisonnalité, les risques d’exploitation (y compris les mesures relatives à l’établissement des prix prises par des concurrents et les risques reliés à la perte de clients clés dans le secteur des services cinématographiques et audiovisuels ainsi que dans le secteur production et distribution), les risques liés aux coûts de contenu de la programmation et de production, le risque de crédit, les risques associés à la réglementation gouvernementale, les risques associés à l’aide gouvernementale, aux effets de la conjoncture économique et de la fragmentation du paysage médiatique, les risques reliés à la capacité d’adaptation de la Société face à l’évolution technologique rapide et aux nouvelles formes de diffusion ou de stockage, les risques liés aux relations de travail ainsi que les risques liés aux urgences en matière de santé publique, notamment la COVID-19, et toute mesure d’urgence mise en œuvre par le gouvernement.
Les investisseurs et autres personnes devraient noter que la liste des facteurs mentionnés ci-dessus, qui sont susceptibles d’influer sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive et éviter de se fier indûment à tout énoncé prospectif. Pour de plus amples renseignements sur les risques, incertitudes et hypothèses susceptibles d’entraîner un écart entre les résultats réels de la Société et les attentes actuelles, veuillez-vous reporter aux documents publics déposés par la Société qui sont accessibles à www.sedar.com et www.groupetva.ca y compris, en particulier, à la section « Risques et incertitudes » du rapport de gestion annuel de la Société pour l’exercice terminé le 31 décembre 2020 et la rubrique « Facteurs de risques » de la notice annuelle 2020 de la Société.
Les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse reflètent les attentes de la Société au 18 février 2021 et sont sous réserve de changements pouvant survenir après cette date. La Société décline expressément toute obligation ou tout engagement de mettre à jour ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouveaux renseignements ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, à moins que les lois sur les valeurs mobilières applicables le requièrent.
Groupe TVA
Groupe TVA inc., filiale de Québecor Média inc., est une entreprise de communication active dans l’industrie de la télédiffusion, de la production cinématographique et audiovisuelle, de la production et distribution internationale de contenu télévisuel ainsi que des magazines. Groupe TVA inc. est la plus importante entreprise de diffusion d’émissions de divertissement, d’information et d’affaires publiques et une des plus grandes entreprises privées de production de langue française en Amérique du Nord. L’entreprise est aussi la plus importante dans le secteur de l’édition de magazines francophones et publie des titres anglophones parmi les plus populaires au Canada. Ses actions classe B sont cotées à la Bourse de Toronto sous le symbole TVA.B.
Les états financiers consolidés audités, accompagnés des notes afférentes, ainsi que le rapport de gestion annuel peuvent être consultés sur le site internet de la Société à l’adresse suivante : www.groupetva.ca.
[1] Voir la définition du BAIIA ajusté ci-après.
[2] Source : Numeris – Québec franco, 1er octobre au 31 décembre 2020 et 2019, l-d, 2h-2h, t2+
[3] Voir la définition du BAIIA ajusté ci-après.
[4] Source : Vividata, Hiver 2021, Total Canada, 14+, 1er octobre 2019 au 30 septembre 2020
[5] Voir la définition du BAIIA ajusté ci-après.